Après Strasbourg-Paris FC (0-0)

Comme l'an dernier, les matchs décisifs, on est incapable de les gagner ! Beurk !

Je plaint tout ceux qui sont allés à la Meinau: sans doute un beau match de *****. En espérant que ça ne soit pas le début d'une spirale négative.

Résultat embêtant car il oblige à espérer que l'un ou l'autre club au-dessus de nous trébuche toujours et encore. Plus inquiétant encore, il semble que nous n'ayons même pas été capable de bousculer vraiment un club qui était en-dessous de nous au classement, à domicile de surcroît.

Je reviens du match....
Que dire, le PFC a su bloquer le jeu, ils étaient partout. Dès qu'un joueur du RCS avait le ballon, il se retrouvé encerclé par 2, 3 voir 4 adversaires....
Pas le choix pour le RCS de faire des passes en retrait et espérer changer de coté mais trop de joeurs adverses pour ce créer quoi que ce soit...
En même temps le RCS n'avait pas les jambes pour accélérer le jeu, faire le trou pour avoir une occase....
Je ne dirais pas que le RCS était nul ce soir, simplement que le PFC a su couper et récupérer le jeu au bon moment....
Dommage, mais le RCS ne pouvait pas faire mieux que le match nul.

marc67 a écrit:Je reviens du match....
Que dire, le PFC a su bloquer le jeu, ils étaient partout. Dès qu'un joueur du RCS avait le ballon, il se retrouvé encerclé par 2, 3 voir 4 adversaires....
Pas le choix pour le RCS de faire des passes en retrait et espérer changer de coté mais trop de joeurs adverses pour ce créer quoi que ce soit...
En même temps le RCS n'avait pas les jambes pour accélérer le jeu, faire le trou pour avoir une occase....
Je ne dirais pas que le RCS était nul ce soir, simplement que le PFC a su couper et récupérer le jeu au bon moment....
Dommage, mais le RCS ne pouvait pas faire mieux que le match nul.

On a vu exactement le même match. Pas un 0-0 pourri sans âme, au contraire je trouve que les joueurs n'ont une nouvelle fois pas chômé. Mais une défense vraiment très expérimentée en face et une tactique sacrément au point pour le National, sauf sur le plan offensif (même les Parisiens ne cherchaient peut-être pas plus qu'un point).
Et le jus qu'il aurait fallu pour aller plus vite pour ne pas être obligé de jouer latéralement, il a fini par nous manquer en deuxième mi-temps. Pourtant c'est pas faute d'avoir essayer à la fin, comme en témoigne notre défense qui a la plupart du temps était beaucoup plus proche de la ligne médiane que de nos 20 m.

En attendant ce sont deux points de perdus par un manque de volonté ou capacité d'accélérer le jeu pour pouvoir faire craquer cette défense. Je n'y étais pas mais à la radio on a pas eu trop de commentaires sur beaucoup d'actions dangereuses de la part de nos bleus. Espérons qu'ils ne soient pas déjà en phase descendante.....

On a quand même eu deux énormes occasions dont au moins une aurait dû être au fond. Celle de Belvito qui parvient à fixer le gardien mais se trouve finalement dans un angle trop fermé pour marquer. Et surtout celle de Tchato à bout assez portant, consécutive à une très belle frappe de Noro détournée dans ses pieds, mais qui finit en sortie de but alors que le but était vide de chez vide.

Ça nous condamne à gagner obligatoirement à Gap pour ne pas dire au revoir à la montée. On se retrouve dans la même situation qu'avant les deux matchs couperets contre Bastia et Guingamp. Perso, trois points ce soir c'était l'idéal : à moins d'une défaite à Gap on aurait pas fait de mauvaise opération comptable la semaine prochaine et on aurait pu accueillir Gueugnon plus sereinement. Alors que là, on est condamnés à rester l'une des meilleures équipes à l'extérieur dès samedi prochain.

Et tout ca à cause d'un match de trop en CDF.......
Certains n'ont plus de jus, d'autres ressentent des douleurs par ci par la.....

2 victoires, 1 nul, 2 victoires, 1 nul....
On ne peut pas reprocher non plus au racing de ne pas gagner tous les matches. Le nul devient acceptable dans la mesure où l'on gagne nos deux prochains concurrents qui sont des équipes plutôt faible où ne pas gagner serait vraiment une mauvaise opération.

J'étais également au match, et les 0-0 du début de saison ne m'ont finalement pas manqués

Quel ennuie ce match ...

J'en veux pas du tout aux joueurs ne pas avoir produit de beau jeu, c'était tout simplement impossible. Personne n'aurait pu déployer un jeu léché hier soir face à un tel mur défensif (bien organisé il faut dire). J'ai même pas trouvé qu'il y avait énormément de déchet, on a souvent su conserver la balle, mais pas l'exploiter, ce qui revient au même en fin de compte.

On ne peut pas gagner tous nos matchs, mais comme vous le soulignez les points perdus maintenant risquent plus que jamais de coûter cher. Force est de constater que le bilan à domicile n'est pas brillant du tout, la faute encore et toujours à notre première partie de saison ratée.

Le voilà le classement à domicile....

En fait, et ça fait bizarre quand tu le sais par rapport à notre début de saison : on est une des meilleures équipes à l'extérieur, y a juste les incontournables Bastiais qui nous distancent bien sûr de loin.

A domicile par contre, on est complètement plombés par tous nos matchs nuls avant la trêve. Depuis la reprise, 5 points de pris sur neuf contre Guingamp, Bastia et Paris c'est pas trop moche, mais notre mauvais départ nous oblige quasiment chaque journée à être exemplaires d'un point de vue comptable

L'attaque, Matlhouthi était seul pendant 60min ensuite deux avec Bélvito contre cinq voir six joueurs adverse...Les milieux du PFC était proche de leur ligne de défense....
Ce bloc avançait et reculé en même temps selon le jeu et à 30/40 mètres des buts, quand le RCS était dangereux à cette distance, le PFC faisait faute ....

Matlhouthi bougeait beaucoup mais n'arrivait pas à se démarquer du marquage à la culotte, très rarement il n'a pu prendre de vitesse la défense....

Les deux ou trois joueurs de niveau L2 du RCS, ont eté bien maitrisé par le PCF et sachant que le reste du RCS à le niveau CFA donc y a pas photo....

C'est pas une excuse la défense bien en place, mais juste une explication. Regarde : si Alfortville était venu pour bétonner plutôt que pour jouer au football, on ne leur en aurait jamais mis quatre. A partir du moment où les deux équipes attaquent, généralement la meilleure l'emporte, sinon c'est un peu plus compliqué. Dans un match comme hier, je doute qu'une autre équipe comme Cannes ou Bastia aurait eu droit à une promenade de santé, à moins d'ouvrir par hasard le score dès les premières minutes.

Par contre, là où j'aurais tendance à dire qu'on pèche assez dangereusement, c'est dans la finition. Dans ces matchs-là, t'es obligé de faire la différence sur coup-de-pieds arrêtés ou sur les rares occasions que tu te procures. Or ça on n'a pas su le faire, et les deux occas' qu'on loupe sont vraiment grosses.

Mathlouthi en pointe, Ketkeo et Ledy sur les ailes, Noro en 10, Damour en 8 (complètement passé à côté de son match en ce qui me concerne) et Ahoueya en 6 un peu en sentinelle devant la défense.

Deuxième mi-temps : deux attaquants de pointe (Mathlouthi et Belvito), deux ailiers (Ledy et Yenga) et deux milieux (Ahoueya et Noro). Jeu à la fois offensif sur le papier et sur le plan de l'occupation du terrain (défense souvent proche de la ligne médiane) mais très peu productif dans la zone décisive, sauf donc sur les quelques occasions franches qu'on a foirées.

Je dirais pas vraiment une configuration à la Janin. Les consignes étaient clairement de ne pas rester dans notre camp et hormis à la fin on n'a pas abusé des ballons longs. Au contraire, on a souvent (à mon sens) perdu un peu de temps en essayant de le faire circuler à proximité des 16 m adverses, sauf qu'on est jamais parvenu ou presque à rentrer dedans.

Le scénario me fait davantage penser à ceux qu'on nous avait servi des tonnes de fois avec JPP en Ligue 2. Sauf qu'on avait toujours quelqu'un pour provoquer un péno ou convertir une occasion à l'arrache lors de cette saison.

Augmenter la cadence ,j'ai l'impression qu'on est en surrégime. En tout cas c'est mon sentiment après ce match face à Paris où l'on a été incapable d'accélérer pour faire la différence