Jafar Hilali (Président)

Il ne veut pas se montrer. Et pourquoi? Il a peur de se faire lyncher?
Présent 10 ans. Au fou !!!

Présent 10 ans ? Déjà qu'il a du mal à célébrer son premier anniversaire ! Et s'il reste 10 ans, alors on va connaître 10 relégations ! Il veut battre un record de médiocrité ou quoi ?

On le verra peut-être le long de la main courante puisqu'il n'y aura plus personne.

booba9068 a écrit:Arrête Poncho.Dépot de bilan = Plus de centre de formation , contrats pro caducs et relégation en CFA ou CFA 2 ( je crois ).Autant dire un cataclysme.

Non, en principe et je dis bien en principe dépot de bilan = relégation d'une division, si plan de secours, ensuite redressement judiciaire et possible reprise.
C'est en cas de liquidation judiciaire où la structure pro racing disparait et que nous jouons alors dans la 1ere division amateur du club, actuellement en CFA 2 et l'interdiction de recruter ou d'avoir des contrats pros.

Moi ce qui me choque c'est le silence tout autour de ce Jafar de mauvaise foi. Que ce soit au niveau des élus, des ex-repreneurs alsaciens ou d'autres encore, on semble couver Hilali comme un poussin nouveau-né. Personne ne prend vraiment de responsabilité pour crier à haute-voix ce que tout le monde pense dans son coin, le racing, porte-parole de toute une région vègète dans les profondeurs d'un championnat anonyme avec aucun espoir de d'en sortir dans les conditions actuelles et qui risquent encore de se dégrader prochainement. Le Président Dictateur communique par SMS ou textos, ne vient jamais au stade, boude à sortir son chéquier pour renforcer une équipe à la peine, vire tous ceux qui ne marchent pas droits avec des conséquences financières désastreuses et ose dire que tout va bien. Mais bon sang, réveillez-vous les Grands Alsaciens, bougez votre c*l, afin que cesse cette mascarade que nous sort quotidiennement cet indigène sans aucune notion footballistique et qui de plus nous prend pour des demeurés ou même une sous-race. Il mène nos élus par le bout du nez comme il mène le racing au dépotoir, çà me rappelle la chanson de M. Sardou; "Je vous ai bien eu".

Voyons candyraton, chacun sait que les grands alsaciens sont complices de la finance. C'est même cette dernière qui les financent afin de conserver leurs privilèges (ceux des élus, des autres maîtres de l'économie et ceux de la finance).
L'été meurtrier sur le plan politico-financier que nous avons connu l'a largement démontré.
Ne compte pas sur le Comte d'Alsace Richert qui a relancé d'ailleurs récemment l'idiot à propos d'un nouveau stade (elle me fait toujours marrer celle-là) pour le critiquer.

Racing
Sportfive contre-attaque
L’agence du groupe Lagardère, qui gère le marketing du RCS, a adressé en début de semaine passée une mise en demeure aux dirigeants du club, les sommant de respecter la dizaine de contrats qu’ils avaient dénoncés, notamment celui de l’Alsacienne de restauration. Jafar Hilali a obtempéré hier.

Entre Sportfive et le Racing, la lune de miel, « consommée » sous l’ère Philippe Ginestet, est terminée depuis longtemps. Le nouvel actionnaire majoritaire du RCS, Jafar Hilali, s’est mis en tête de rompre le contrat qui lie les deux parties jusqu’en 2030 (« L’Alsace » du 11 août). Un bail en « béton », évidemment, pour lequel l’agence de marketing, qui gère la régie commerciale et publicitaire depuis 2005, a versé au club, lors du renouvellement de juillet 2008, la coquette somme de 3 millions d’euros (hors taxe).

Mais depuis l’arrivée des Londoniens, les relations de ceux qu’il convient désormais d’appeler les deux antagonistes se sont détériorées. Ces dernières semaines, Hilali et consorts ont dénoncé une dizaine de contrats de partenaires démarchés par Sportfive, dont le principal est celui de l’Alsacienne de restauration qui gérait jusqu’à début août la restauration et les buvettes à l’intérieur de la Meinau (1). L’engagement de cette dernière court encore sur plusieurs années.

Faute d’avoir jusque-là fait entendre raison aux nouveaux propriétaires, la société du groupe Lagardère a quelque peu durci le ton en début de semaine passée. Si les débats n’ont pas encore été portés sur le terrain judiciaire – la prochaine étape peut-être si d’aventure, la situation devait à nouveau dégénérer –, elle leur a adressé une lettre de mise en demeure. Objet de la missive : « le respect des accords en cours dans le respect des partenaires », selon son directeur général, Christophe Bouchet, ex-président de l’Olympique de Marseille et actuel vice-président de Tours. « Le contrat de Sportfive est une chose. Mais le plus important est de ne pas remettre en cause les deals existant avec les entreprises partenaires. Ce qui se passe est invraisemblable. On ne peut pas tout fouler aux pieds comme le font les dirigeants du Racing. »

Hilali craint-il les coûts ?

Pour revenir sur ces engagements, le RCS se réfugiait derrière le non-renouvellement de la convention avec la Ville, notamment sur la location du stade (Ndlr : la discussion est toujours en cours). Un argument rejeté par Sportfive et Christophe Bouchet, interrogé avant le revirement de Jafar Hilali hier. « Je ne sais pas si avec le club, nous avons atteint un point de non-retour. Il serait facile d’avoir un avis tranché dans un schéma classique. Mais même dans nos prévisions les plus singulières, nous n’aurions jamais imaginé en arriver là. Cette situation ne nous rend pas fébriles, car dans notre job, nous en avons l’habitude. Mais je dois admettre que la façon dont les dirigeants se comportent est inédite. »

Sans recourir à la menace, C. Bouchet ne se départit donc pas d’une certaine fermeté : « Sportfive est là pour aider et accompagner le Racing. Nous avons le savoir-faire, le recul et la sérénité nécessaires. Nous ne sommes pas liés au résultat match par match et c’est pour ça que nous sommes un partenaire en béton. Strasbourg mérite un club de L1. C’est dans cet esprit que nous avons resigné en 2008 (2). Nous ne désespérons pas de faire un boulot en profondeur avec les actionnaires, présents ou à venir. Le désaccord actuel est tellement irrationnel que je pense qu’on ne peut aller que vers plus de rationalité. Il faut s’accrocher. On connaît les problèmes financiers auxquels est confronté le RCS. Aujourd’hui, nous aurions la possibilité juridique de dénoncer le contrat et dire aux dirigeants : « Vous nous devez trois millions. » Mais nous ne sommes pas là pour asphyxier le club et contrairement à d’autres, nous ne nous comportons pas en irresponsables. »

« Quand il va s’apercevoir de ce que ça risque de lui coûter, Jafar Hilali va reculer, comme avec les salariés qu’il a réintégrés après avoir pris conscience du montant de leurs indemnités de licenciements », pronostiquait il y a quelques jours un observateur avisé de la vie du RCS. Depuis, sa prédiction s’est révélée exacte : hier, Hilali a, sans en référer directement à Sportfive, signifié à l’Alsacienne de restauration qu’elle reprendrait possession des buvettes dès samedi contre Alfortville. Dans l’après-midi, le président Jean-Claude Plessis a annoncé à Jean-Noël Roth, directeur commercial de l’agence à Strasbourg, qu’il signerait aujourd’hui tous les contrats en souffrance. Une énième volte face qui n’étonnera personne. Celui qui monte sur un ring doit le faire avec le courage et la force d’encaisser coups et coûts. Grand adepte du combat frontal, Jafar Hilali finit souvent par devenir maître de l’esquive quand l’adversaire est de taille et lui rend coups pour coûts.

Stéphane Godin
(1) Par souci d’économie, la direction du club a aussi mis un terme aux engagements de deux sociétés prestataires de services, Dalkia (qui gérait toute la maintenance électrique et de chauffage de la Meinau) et ISS (la société de nettoyage du stade). Ces ruptures pourraient évidemment avoir une incidence sur leurs contrats de partenariat, puisque ces deux entreprises étaient également sponsors du club. Le club a même encaissé voici quelques semaines une partie des sommes correspondant à leur sponsoring.

(2) Sportfive versera de nouveau 3 millions hors taxe au RCS s’il remonte en Ligue 1

On retient cette petite phrase que Jafar appréciera :

« Les nouveaux dirigeants du Racing sont comme des lapins dans les phares d’une voiture : ils s’affolent, courent dans tous les sens et vont finir par se faire écraser. » De Christophe Bouchet, directeur général de l’agence de marketing Sportfive.

Je pense q'il faudrait remplacer "les" nouveaux dirigeants par 'le" nouveau dirigeant.

Bin non il y a Jafar ...et son égo :boulay:

Football / Le futur président du Racing, Jafar Hilali, se dévoile

« J'assumerai »
Plutôt réticent à communiquer, Jafar Hilali, le principal actionnaire du Racing avec Alain Fontenla, a fini par rompre le silence. Alors qu'il se prépare à prendre la présidence du club strasbourgeois, le successeur de Jean-Claude Plessis dévoile ses intentions. S'il n'est pas à Strasbourg pour être aimé, il ne compte pas non plus y échouer.



« En tant que président, je ne veux pas être un boulet pour le sportif. Je me pose tous les jours la question du moyen d'apporter un plus. » Les propos de Jafar Hilali tendront à rassurer Laurent Fournier, lequel s'échine, contre vents et marées jusqu'ici, à montrer la voie à sa jeune troupe.
- Après des mois de silence, vous acceptez de parler. Cela semble inconcevable pour un personnage aussi exposé que le propriétaire du principal club alsacien. Comment en est-on arrivé là ?
- Les conditions de mon investissement n'ont rien d'anormales. C'est par le biais d'un salarié de ma société que l'on s'est intéressé au Racing. C'était une équipe de foot qui allait mal, elle était 18e en L2, elle avait beaucoup de problèmes. Et c'est un club de l'Est de la France, dans une région saine, riche. Il y a des enjeux autour de ce club. En raison de la gestion de ces dernières années, le club avait besoin qu'on le rebooste un peu. On a procédé à l'achat pour 1,5 millions d'euros. Cela s'est fait vite, peut-être un peu trop.


«Je conçois que les gens qui suivent ce club depuis longtemps soient dégoûtés»
- Dix mois plus tard, les choses vont encore plus mal. Comment analysez-vous la situation ?
- Il y a quelque chose d'hallucinant. C'est comme un énorme accident. Je ne suis pas un accro du foot, contrairement à Alain Fontenla. Mais ce qui arrive provoque forcément de la déception. Et Strasbourg qui ne monterait pas, ce serait la risée de la France. Après, il faut s'efforcer d'analyser les choses avec du recul pour essayer de rebondir.
- On a le sentiment que les actionnaires du club ont multiplié les mauvaises décisions depuis une dizaine de mois. Ne s'agit-il pas d'une méconnaissance du foot qui a conduit le Racing où il en est ?
- Il y a des règles à comprendre, qui ne sont pas forcément compliquées. Après, je conçois que les gens qui suivent ce club depuis longtemps soient dégoûtés. Je pourrais faire tout ce que je peux, tant que le Racing n'est pas au moins en L 2, j'aurai tort. J'ai eu des discussions avec Rolland Courbis qui m'a dit qu'en huit mois, j'ai vécu ce que d'autres n'ont pas vécu en 20 ans. Mais si, à la fin, ça se termine bien...
Je découvre quelque chose de génial dans le foot, avec, d'un côté, le processus d'affolement collectif et de l'autre des gens qui s'en tiennent à une direction et à une loyauté. Ça me plaît.
D'un autre côté, je sais aussi qu'on n'a pas à faire à un milieu de moutons. Il y a différentes catégories de gens, ceux qui ont l'info, ceux qui ont un ressenti, ceux qui s'en tiennent à une position ferme et définitive. Aujourd'hui, je ne cherche pas la reconnaissance. Je veux être heureux si le Racing monte en L 2.
- Quels sont vos objectifs et la méthode que vous comptez privilégier pour les atteindre ?
- Dans un premier temps, il faut établir une certaine stabilité. Il y a eu trois présidents différents. Aujourd'hui, je ne veux plus que l'on me mette de bâtons dans les roues. Si ça ne devait pas marcher, j'assumerai. Je serai président à la fin du mois.


« Le Racing, c'est un énorme club dans l'absolu »
Ensuite, dans ma démarche, il s'agit de distinguer le sportif et le reste du club. On n'est pas à Luzenac. Le Racing, c'est un énorme club dans l'absolu, c'est une grosse entreprise, c'est peut-être une trop grosse entreprise. En tout cas, Jean-Claude Plessis m'a encore décrit l'ambiance à Ohlungen, dimanche. Ça n'a rien à voir avec un club comme Sochaux.
On se retrouve dans une région avec une identité forte, dans une ville multiculturelle comme Strasbourg. Lorsque j'ai rencontré Philippe Richert, je lui ai d'ailleurs proposé de rebaptiser le club, qui deviendrait le Racing Club de Strasbourg Alsace. Parce que fondamentalement, on se retrouve d'abord dans une région de foot.
- Connaissant la difficulté des greffes tentées par le passé, ne craignez-vous pas de vous retrouver en première ligne ?
- Je sais qu'il y a eu Daniel Hechter, McCormack ou même Alain Afflelou qui ont échoué ici. Initialement, je n'avais pas la volonté de mettre la main à la pâte. Mais on est dans un environnement où l'on veut savoir qui il y a derrière. On espérait un schéma autre que le président-actionnaire. Visiblement, ça ne marche pas.
Dans le processus, il est clair qu'on a perdu beaucoup de temps. En tant que président, je ne veux pas être un boulet pour le sportif. Je me pose tous les jours la question du moyen d'apporter un plus. Dans ma tête, par exemple, ce n'est certainement pas en assistant aux matches. De la même manière, je ne peux pas incarner le club de toute une région.


« Jean-Luc Witzel va remplacer Jean-Claude Plessis au directoire »
Mais un boss c'est un boss et il décide de tout. Prochainement, Jean-Luc Witzel (ndlr : l'actuel directeur sportif) va remplacer Jean-Claude Plessis au directoire et je remplacerai Jean-Claude Plessis à la présidence. J'espère que ce dernier acceptera de rester dans un vrai rôle de représentant du club.
- Il reste que les finances du club inquiètent...
- Je suis allé avec Alain Fontanel (nldr : l'adjoint au maire en charge des finances) devant la DNCG et la trésorerie est assurée jusqu'à la fin de la saison. Ensuite, le budget du club et les investissements ne sont pas la question. Pendant le naufrage, le Titanic aurait bénéficié des plus grands investissements, cela n'aurait rien changé.
Sur les neuf millions d'euros pour la saison, six sont consacrés au sportif, avec un budget fort pour la formation. Trois pour l'extra-sportif, c'est trop. Or, il faut un attaquant et un milieu offensif pour donner un coup de pouce. J'espère que la DNCG nous autorisera à recruter. On voulait investir les 600 000 euros obtenus avec le transfert de Bah dans l'effectif. La DNCG ne nous l'a pas autorisé.


« Je ne vais pas faire plaisir à tout le monde »
- En vous dévoilant, avez-vous le sentiment de franchir le pas ?
- Ça fait trois mois que je l'ai franchi. Je vais chercher à dissiper les incompréhensions, mais il n'y a que le résultat qui m'intéresse. On a fait le procès de la communication. Mais je sais que je communique mal. Et dans les prochains temps, je sais aussi que je ne vais pas faire plaisir à tout le monde. Je sais que j'ai fait des erreurs, notamment par rapport aux supporteurs. J'ai ainsi rouvert le kop. Mais j'ai surtout le souci de créer les conditions pour que ça marche. On n'est évidemment pas obligé de m'aimer, mais tout le monde doit faire pour que ça aille mieux.
Propos recueillis
par François Namur

OHHHH Grand HILALI, que la paix soit sur la terre comme au ciel.... bravo quel acteur, c'est digne de comedia de l'arte !!! CALIMERO, CALI-MERO..!!! et tous le monde il est méchant et c'est pas de ma faute, c'est les autres qui sont nuls depuis longtemps, madame, madame le garçon il m'embête, snif snif...
Bref en résumer avec son itw sur KCB il nous a mis la veseline et la il veut nous la mettre, Oyé Oyé bonnes gens je suis un gentil c'est les autres qui vous ont mentit....c'est sur Monsieur qu'en l'état actuel des choses vendre vos parts était compliqué, il faut donc redorer votre blason, donner l'impression de construire VS détruire pour ainsi donner confiance à un futur pigeon.....
Monsieur HILALI vous n'êtes qu'un menteur, égocentrique et incompétent .... les autres, eux, dont vous parlez n'ont peut être pas été parfait mais nous ont fait vivre d'autres moments sportifs que ceux que vous nous imposez....et même si nous n'étions pas les meilleurs nous étions fiers de notre club....
Aujourd'hui, je dois avouer que j'ai honte de la manière dont vous l'administrer et de la manière dont vous traiter votre/notre entourage.... Monsieur Hilali le bonimenteur, vous ne nous hypnotiserez pas ... nous seront les sentinels de notre club... Alors Monsieur Hilali si vous voulez le respect de notre région prouvez nous que vous êtes venus avec de bonnes intentions, comme vous semblez le dire, mettez de l'argent sur le table, arrêter de nous parler de budget, investissez vraiment, recrutez des joueurs et faites nous remonter...et la je vous l'assure toutes vos maladresses seraient pardonnées.
Mais je ne me fais aucune illusion, j'ai bien compris votre objectif, vous sortir de cette galère où certains de vos collaborateurs vous ont mis...la manière forte n'a pas marché, vous tenté la pitié...mais le naturel va revenir...
Alors Monsieur Hilali soit vous sortez le chequier et prouvez votre bonne foi soit il vous serez gré de prendre la porte et d'aller faire votre manège (Carousel) ailleurs !!!

Suis entièrement d'accord avec toi Fritz, la seule chose importante pour le racing actuellement c'est le fric et Hilali est en train d'enfumer tout le monde avec de belles paroles et des comptes d'apothicaire, alors que s'il voulait vraiment que le club remonte la pente, la solution est simple injecter des liquidités, ce ne sont pas les économies de bouts de chandelles par-çi par-là qui vont faire remonter le club.

Et oui, j'ai du mal à suivre le bonhomme... D'un côté des économies de bout de chandelle comme tu dis, et de l'autre des dépenses somptueuses en embauchant plein de gaillards inutiles, en les virant et en devant leur payer tout un paquet d'indemnités de licenciement... Et après ça, on te dit qu'on n'a pas les moyens de recruter des renforts... Pire même, on laisse sur le bord de la route un jeune de chez nous, pure produit du centre de formation, comme Abadie !

J'ai même pas lu l'article ,je crois d'ailleurs que ce n'est pas une perte

Hilali prêt à tout casser !

C’est la dernière lubie du nouveau propriétaire du Racing, Jafar
Hilali, décidément jamais à court d’idées. Hier, l’homme d’affaires londonien a inondé dès l’aube les messageries des salariés du club pour leur annoncer qu’il souhaitait créer un « open space » dans les locaux administratifs de la Meinau. En clair, il entend faire enlever les cloisons amovibles installées sous l’ère Mc Cormack et démolir les autres pour créer un espace de travail « à l’américaine ». Pour réduire le coût de l’opération, il a chargé les concierges du stade d’assurer les travaux. Cette nouvelle configuration, si elle prenait forme, entraînerait une réorganisation complète des services. On peut néanmoins se demander s’il n’y a pas en ce moment au RCS des chantiers plus urgents et si, avant d’envisager de telles transformations, il n’est pas utile de demander son accord au propriétaire du stade, la Communauté urbaine de Strasbourg.(L'Alsace)

Les fameux plateaux qui existent depuis longtemps dans les grosses boites ou tu ne peux pas lacher une perlouse sans enfumer ton voisin !!!!!!!!!!!

Chaque jour réserve son lot de surprises sauf celle que l'on attend, la sortie par la petite porte du fauteur de troubles.

Ces open space n'ont qu'un but: la surveillance plus facile de ce que tu fais.
Bref, du totalitarisme. On se croirait dans 1984.
Je propose un open space chez Hilali...

Exact , il faudrait faire celà chez carroussel "kikiriki " !!!

Jafar ...suite :mal:

Jafar Hilali avait menacé Christophe Krebs, le directeur de la sécurité du Racing, de licenciement en cas de dérapage dans les tribunes lors du match contre Alfortville (L'Alsace)

Totalitarisme hilalien ... suite.
Episode la Terreur...

Quelle époque !

Lui aussi ira au bout de sa réforme, celle du (de la) retrait(e) du professionnalisme du RCS.

De toute façon vu ce qu'il a investi il ne partira sans doute pas, à moins de trouver un pigeon susceptible de débourser suffisamment de blé pour lui racheter ses parts ...

Marius a écrit:Lui aussi ira au bout de sa réforme, celle du (de la) retrait(e) du professionnalisme du RCS.

C'est où qu'il crèche pour qu'on puisse lui couper les vivres

Échos Hilali verra les joueurs jeudi !

Malgré plusieurs visites à la Meinau depuis trois semaines, le propriétaire du Racing Jafar Hilali n’a toujours pas rencontré l’effectif de Laurent Fournier. Il s’est manifesté en fin de semaine passée pour indiquer qu’il s’adresserait aux joueurs ce jeudi lors de sa prochaine venue en Alsace.

(L'Alsace 25-10-10)

Chanson autobiographique des intentions et sentiments d'hilali à notre encontre.... il est juste moins drôle que Coluche...

Les joueurs n'ont finalement pas vu Jafar Hilali.


Le capitaine Milovan Sikimic (au premier plan) et le groupe professionnel strasbourgeois n'a toujours pas rencontré Jafar Hilali, patron du Racing.
Photo d'archives Jean-Marc Loos.

Le propriétaire du Racing Club de Strasbourg, qui vient régulièrement en visite au Stade de la Meinau depuis trois semaines, n'a finalement pas rencontré les joueurs du groupe professionnel ce matin, comme c'était prévu depuis une semaine.
L'actionnaire principal du RCS n'a tout simplement pas pointé le bout de son nez, alors qu'il devait se présenter à la troupe de l'entraîneur Laurent Fournier aujourd'hui à l'issue de l'entraînement, qui s'est achevé vers 11h30.
Selon nos informations glanées sur place, une nouvelle date a été fixée par Hilali pour rencontrer les joueurs strasbourgeois. Il s'agit du mercredi 3 novembre prochain, soit un peu plus de trois mois après le début de la saison 2010-2011.
F.R. & O.A. - L'Alsace.