Match de tous les dangers à Nancy ce soir, faut inverser la spirale de la défaite, pas une mince affaire.

Perdre ne serait pas bon pour la suite du championnat et la coupe.

Accrochée jusqu’au milieu du dernier quart-temps (65-69) alors qu’elle prenait le large dès qu’elle accélérait, la SIG n’a pas lâché s’est finalement imposé à Nancy (72-80). C’est l’essentiel !

Je crois que cette victoire vient au bon moment.
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KAYSERSBERG 78
PARIS BA 69
Nationale 2 masculine Kaysersberg a eu très chaudMenés à l'entame du money-time par une équipe du Paris Basket Avenir sans complexe, les Kaysersbergeois ont failli hypothéquer leurs chances de décrocher la deuxième place de la poule D de Nationale 2, ce samedi soir dans leur salle Théo-Faller. Mais l'essentiel est sauf (78-69).

Kaysersberg s'en sort de justesse
Menés à l'entame du money-time par une équipe du Paris Basket Avenir sans complexe (61-62, 34e), les Kaysersbergeois ont failli hypothéquer leurs chances de décrocher la deuxième place de la poule D de Nationale 2, ce samedi soir dans leur salle Théo-Faller. Mais l'essentiel est sauf (78-69) et les Haut-Rhinois doivent une fière chandelle à leur intérieur monténégrin Sreten Cabarkapa, auteur d'une nouvelle partie monumentale (27 points).
Les Alsaciens devront élever sensiblement leur niveau de jeu, samedi prochain dans l'antre de Pont-de-Chéruy (Isère), un concurrent direct dans la course aux play-offs.
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Strasbourg - Pau-Lacq-Orthez : 68-62
En ouverture de la 30e journée de Pro A, Strasbourg a battu Pau-Lacq-Orthez (68-62) lundi.
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Vainqueur de Pau-Lacq-Orthez, Strasbourg a préparé la finale de l'Eurocoupe
En ouverture de la 30e journée de Pro A, Strasbourg a battu Pau-Lacq-Orthez (68-62) lundi, à quatre jours de la finale aller de l'Eurocoupe face au Galatasaray Istanbul.
Pour Strasbourg, le match le plus important de la semaine aura lieu vendredi avec la venue du Galatasaray au Rhénus. Dans cette même salle, la SIG a bien négocié la réception de Pau-Lacq-Orthez (68-62), qui la talonnait au classement.

La première période a été équilibrée, les Béarnais regagnant les vestiaires avec un point d'avance (31-30), bien guidés par Lance Harris (21 de ses 28 points marqués dans les vingt premières minutes). De retour sur le parquet, Strasbourg s'est échappé au tableau d'affichage, infligeant un sévère 27-12 à son adversaire. A la fin du troisième quart-temps, les Alsaciens menaient ainsi de quatorze unités (57-43).

Mais Pau-Lacq-Orthez n'a pas abdiqué et, à deux minutes du terme de la partie, est revenu à trois points (61-58). Des shoots de Mardy Collins et de Rodrigue Beaubois (18 points), le meilleur réalisateur de la SIG, ont toutefois permis aux Strasbourgeois de préserver leur avantage et de s'offrir une victoire importante pour la confiance avant de défier Galatasaray.
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Basket: Suivez la finale de l'Eurocoupe Strasbourg-Galatasaray Istanbul en live comme-à-la-maison à partir de 20h50
20minutes.fr‎ - Il y a 1 heure
Ce premier round de la finale d'Eurocoupe entre la SIG et Galatasaray est à suivre en live .

selon MCS. Ce sera donc la SIG qui sera télévisée ce vendredi à 21h00.

Mi-temps 23-24

Eurocoupe (Hommes)
 Finale d'Eurocoupe (match aller) : La SIG domine Galatasaray au Rhenus !
Opposé à Galatasaray, grand favori de la compétition, Strasbourg a remporté vendredi la finale aller de l'Eurocoupe (66-62), à la faveur d'une défense solide et d'une fin de match bien maîtrisée. Pour passer à la postérité, le club alsacien devra confirmer cette performance mercredi prochain en Turquie.
Si la qualification pour la finale d'Eurocoupe (C2) constituait déjà un exploit considérable pour un club français, Strasbourg n'est visiblement pas rassasié. Ce vendredi, dans un Rhénus tout de rouge paré et au moins aussi survolté que Vincent Collet sur son banc, la SIG a confirmé que sa place à ce niveau du tournoi n'était pas usurpée en battant Galatasaray (66-62) au match aller. Louis Campbell (16 points, 8 rebonds, 6 passes) a été le meilleur élément du collectif strasbourgeois, qui va tenter de conserver son avance et de renverser la montagne turque la semaine prochaine à Istanbul.
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Dommage que la SIG n'ait pas conservé ses 8 pts d'avance acquis à l'entame de la dernière minute.
La défaite semble interdite car je les vois mal ne perdre que de moins de 4 pts.
Et puis l'enfer stambouliote...

Les 4 pts d'avance risquent d'être un peu juste. Soyons pas trop défaitiste tout reste possible !!

N'oublions pas que la SIG s'est chaque fois qualifiée, que ce soit pour les quarts ou les demis, avec une victoire au retour en déplacement.

Je pense aussi que ça va être compliqué, surtout dans l'enfer de Galatasaray, mais bon il faut qu'il joue ce match à fond, et peut-être alors la SIG gagnera cette fameuse coupe, personnellement je n'y croit pas trop.
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Galatasaray - Strasbourg : 78-67

Strasbourg perd la finale de l'Eurocoupe face à Galatasaray
Strasbourg s'est incliné en finale retour de l'Eurocoupe (78-67) face à Galatasaray, mercredi à Istanbul. A l'aller, les Alsaciens avaient gagné de quatre points (66-62). Ce sont les Turcs qui partent avec le trophée.

Le match : Galatasaray - Strasbourg : 78-67

Au micro de Ma Chaîne Sport dont il est le consultant, Claude Bergeaud avait déclaré juste avant le début du match, à propos de l’Abdi Ipekçi Arena d’Istanbul, théâtre de la finale retour : «C’est un volcan, il faudra vite l’éteindre». Dans cette enceinte en fusion, Strasbourg n’est pas passé loin de le faire. Mais la deuxième coupe européenne a bien pris la direction de la Turquie. Les quatre points d’avance du match aller n’ont pas suffi, et la SIG a terminé son superbe parcours sur la scène continentale par une défaite (78-67). Mercredi en Turquie, les Strasbourgeois ont complètement manqué leur entame de match, encaissant un monstrueux 25-9 en huit minutes. Le Galatasaray Istanbul a attaqué d’entrée par des tirs à trois points de Micov, Schilb - l’ancien de Chalon-sur-Saône - et Güler. Et, du côté des joueurs de Vincent Collet, seuls Mardy Collins et Romain Duport ont su réagir.
Mais Strasbourg a eu le courage de ne pas baisser les bras. Emmenée dans le deuxième quart-temps par Kyle Weems, Matt Howard et Louis Campbell, la SIG n’a, un temps, compté que trois points de retard (34-37, 17e) sur son adversaire. Le faible écart s’est répété plusieurs fois en seconde période (47-53, 26e ; 56-61, 32e). Mais, à chaque fois, Galatasaray a su accélérer, porté par Schilb, Koksal, Lasme ou encore McCollum. A trois minutes du terme de la finale, Mardy Collins, le Strasbourgeois le plus efficace (16 points), a de nouveau ramené son équipe à six points (67-73). Mais la pression a finalement eu raison de l’équipe alsacienne. Strasbourg a déjoué, n’a plus rien marqué et a regardé McCollum, sur deux lancers francs, et Güller, sur deux shoots, propulser Galatasaray vers la victoire finale.

Le joueur : Stéphane Lasme

Le Gabonais Stéphane Lasme a été désigné meilleur joueur de la finale retour de l'Eurocoupe. Mercredi, il a marqué 16 points et pris 10 rebonds aux Strasbourgeois. Lasme n'a pas participé au festival du début de match, qui a vu le Galatasaray mener de seize points au bout de quelques minutes. Après avoir inscrit quelques paniers dans le deuxième quart, c'est surtout en seconde période qu'il s'est illustré. Ses shoots ont permis à plusieurs reprises à l'équipe d'Istanbul de s'éloigner d'une équipe alsacienne toujours dans le coup. A 33 ans, Stéphane Lasme a ajouté une ligne supplémentaire à son palmarès, lui qui a été champion de Serbie (avec le Partizan Belgrade), d'Israël (Maccabi Tel-Aviv) et de Grèce (Panathinaïkos Athènes). Il a rejoint Galatasaray cette saison. L'Eurocoupe 2016 est son premier trophée continenta

La déclaration : «On est devenus fous»

Vincent Collet (entraîneur de Strasbourg, au micro de Ma Chaîne Sport) : «Jusqu'à deux minutes de la fin du match, on est là où on voulait être. Nous sommes revenus à six points. Pour Galatasaray, ça a soufflé sur la nuque ! Les Turcs ont raté plusieurs tirs qu'ils mettaient avant. Mais, nous, derrière, on est devenus fous. On a oublié le collectif.»
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A partir du moment où l'on était défait, la coupe allait presque automatiquement à Galatasaray.
Dommage que la SIG n'ait pas sû gérer la dernière minute du match aller alors qu'elle menait de 8 points. On aurait peut-être même pu augmenter la différence.

C'est déjà un bel exploit d'être parvenu à jouer la finale, maintenant il faudra évacué tout ça et pensé à être champion de France.

Cette fois-ci, il ne faudra pas passer au travers de ce titre.

J'ai bien peur que ces "nouveaux riches" de monégasques nous jouent quelques tours avant la fin de la saison.

30/04/2016


SIG  -  Chalon/Reims  92  -  80
 

Strasbourg l'emporte face à Châlons-Reims en match en retard
Strasbourg a battu Châlons-Reims (92-80) en match en retard de la 31e journée samedi. Les Alsaciens étaient assurés de garder leur deuxième place avant ce match.
Trois jours après sa défaite en finale retour de l'Eurocoupe, Strasbourg a bien réagi en battant Châlons-Reims (92-80). La SIG a eu besoin d'une mi-temps pour se régler face à son adversaire. A la pause, les Alsaciens étaient en effet menés et couraient après le score depuis le début de la rencontre. Un troisième quart-temps bien maîtrisé (26-16) leur a permis de passer devant puis de s'échapper. Rodrigue Beaubois et Kyle Weems ont chacun inscrit 18 points. Le meilleur marqueur du match, en revanche, est du côté de Châlons-Reims. Garry Florimont a marqué 22 points, suivi par Mickey McConnell (21 pts). Au classement, Strasbourg reste deuxième, à trois victoires de Monaco (mais avec un match en moins, contre Paris-Levallois, mardi). Châlons-Reims est toujours douzième.
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http://sports.orange.fr/basket/pro-a/breves/31eme-journee-strasbourg-s-est-remis-la-tete-a-l-endroit-CNT000000nUGoB.html

Pro A, 32e journée : la SIG l’emporte (87-93) face au Paris-Levallois Cuits, mais gagnants
À bout de souffle, la SIG a assuré l’essentiel, hier au Paris-Levallois (87-93). Ce succès lui permet de sécuriser sa deuxième place en championnat, dès samedi contre Limoges.
De la folie d’Istanbul à la quiétude des quartiers cossus de Levallois, la SIG a fait le grand écart. En convalescence après son traumatisme post-européen, elle a eu droit à un accueil chaleureux du public du Palais des Sports Marcel-Cerdan, où avaient pris place quelques “guest” – Rudy Gobert, Daniel Costantini, etc. –, tous étant sincèrement désolés qu’elle n’ait pu soulever le trophée continental.
Comme samedi au Rhenus, contre Châlons-Reims (92-80), Louis Campbell et les siens ont encore connu des absences et des oublis. En dépit d’une réelle volonté de bien faire, les périodes de flottement ont été plus visibles que les séquences positives.

Le festival de Beaubois

« On est cuit, voilà la raison principale de nos difficultés, sourit Vincent Collet. Fort heureusement, on a été porté par une adresse à trois points au-dessus de la moyenne (14 sur 24) , alors que l’on a l’habitude de peser à l’intérieur. Tous ces tirs en périphérie traduisent un manque de jus. Paris a fermé la raquette et les gars étaient vraiment trop fatigués pour l’attaquer. Heureusement, on a pu compter sur Rodrigue (Beaubois). »
L’arrière de la SIG, passé au travers de sa finale européenne, a retrouvé hier son allant offensif, glissant 32 points dans l’escarcelle, à huit sur onze derrière l’arc. « Ce n’était pas très joli, mais on a trouvé un moyen de gagner, dit le Guadeloupéen. En début de match, il était flagrant que l’on n’était pas là… »
Vincent Collet utilise son cinq majeur avec parcimonie, d’autant plus que Bangaly Fofana se plaint de maux d’estomac. Les hommes du banc font le boulot, à l’image d’un Romain Duport aux doigts de fée (23 points), de Jérémy Leloup ou de Paul Lacombe. Au sortir d’un tonitruant 10-0, Paris semble dans les cordes (26-35, 14e’ ).
En phase de préparation pour le derby francilien – contre Nanterre jeudi soir –, les hommes de Fred Fauthoux, qui ne jouent plus que pour la beauté du sport, s’en remettent alors à un Louis Labeyrie flamboyant, lui qui inscrit 16 points dans le troisième quart-temps. La SIG regarde le grand chevelu sauter par-dessus la défense, sans être capable de réagir.
L’affaire se corse quand le petit Frank Ntilikina, appliqué jusque-là, perd un ballon en sortie de temps mort. Son équipe est aux abois (83-76, 35e’ ).

Et maintenant, battre Limoges

Après l’artiste Beaubois, c’est le guerrier Howard qui prend le match à son compte, le couteau entre les dents. « À moins sept, Matt Howard nous a gagné trois ou quatre rebonds offensifs, apprécie Collet. Sans lui, on ne parlerait pas de la victoire… On est juste content d’en avoir trouvé le chemin. »
À la faveur d’un 14-0, l’essentiel est donc assuré. Ce succès permet aux Strasbourgeois de toucher au but. S’ils battent Limoges, samedi (20h50) au Rhenus, la deuxième place sera sécurisée.
« Ce serait une bonne idée de faire le boulot dès samedi, conclut Vincent Collet. Car on a besoin de se régénérer avant d’attaquer les play-offs. Demain (aujourd’hui) , d’ailleurs, la seule contrainte, c’est sieste obligatoire ! ».
dna

Pro A (32e journée) : après la victoire de la SIG au Paris-Levallois (87-93) Sieste obligatoire !
Lessivée, rincée, essorée : la SIG, sortie vidée de son épopée européenne, devra se régénérer si elle veut espérer aller au bout de ses ambitions et remporter le titre de champion de France. Avant d’y penser, il s’agit encore de battre Limoges, samedi soir.
Mardi soir, à Levallois, les Strasbourgeois disputaient leur 60e match officiel de la saison, toutes compétitions confondues.
Si Vincent Collet, d’humeur badine, invitait ses joueurs à « une sieste obligatoire » au lendemain de la victoire (87-93) qui sécurise la place de dauphin derrière Monaco, à une victoire près, ceux-ci ont passé l’âge de respecter les consignes des jardins d’enfants. Mais il faudra bien trouver un moyen de recharger les batteries.

« On est dans le creux de la vague, mais on va remonter »

Après Châlons-Reims samedi dernier, c’est donc le Paris-Levallois qui a failli en profiter. Sans l’adresse retrouvée de Rodrigue Beaubois (32 points) en périphérie, l’efficacité de Romain Duport (23 points) à mi-distance et la hargne de Matt Howard, à l’impact déterminant dans le money-time , ce voyage dans la capitale aurait connu une issue moins heureuse.
« Nous n’y étions pas allés pour “faire joli”, mais pour gagner, rappelle Vincent Collet, lui aussi sévèrement marqué par l’accumulation des matches et en proie à un gros rhume. Sur de courtes séquences, on est capable de produire du jeu. Le potentiel est donc là. Mais il ne faut pas s’en gargariser. En play-offs, ce ne sera pas suffisant. »

Après les deux dernières rencontres de saison régulière – samedi (20h50) au Rhenus, contre les vieux amis Limougeauds, éliminés de la course au titre, puis mardi chez la lanterne rouge havraise –, le rythme va encore s’accélérer.

Être prêt le 14 mai

« Si on va au bout du bout, on peut au maximum disputer treize matches (trois en quarts, cinq en demies et autant en finale) en trente jours, précise le coach alsacien. D’où l’importance de retrouver de la fraîcheur physique. Car en play-offs, l’intensité requise est équivalente à celle de nos dernières sorties européennes. À chaque fois, il s’agit d’un match de coupe. »
Certains éléments paraissent aujourd’hui particulièrement marqués. On pense à Kyle Weems, que Vincent Collet a beaucoup utilisé ces dernières semaines, en raison de la convalescence de Matt Howard, à Mardy Collins ou Louis Campbell.
« Ils sont fatigués et c’est logique, parce que nos leaders ont tout donné en Eurocoupe, dit le technicien de la SIG. La charge émotionnelle et la fatigue physiques ont été intenses. À Paris, on a mis les paniers mais on n’a pas défendu de l’autre côté. On est dans le creux de la vague. Mais je suis sûr que l’on va remonter d’ici au 14 mai et au premier match des quarts de finale. »
Le stratège de la SIG estime que le temps sera un bon allié. « Les jours qui passent permettent de se retaper une santé, assure-t-il. Malgré tout, il faudra se réentraîner un peu, ce que l’on n’a pas eu l’occasion de faire réellement ces dernières semaines. Demain (aujourd’hui) , par exemple, on va réviser nos systèmes. Le match de Limoges, on n’y pensera qu’à partir de vendredi. »
Pour affronter ces « armées qui ont toutes bénéficié d’un temps de repos, à l’exception de Chalon », coach Collet sait qu’il faudra « gommer le handicap dû à la fatigue ». À ce titre, l’expérience européenne, « des matches de très haut niveau où chaque minute compte », devra servir.

Un renfort comme « un signe positif »

Alors que ses hommes ont eu le loisir de “siester” hier après-midi, le technicien s’est penché, lui, sur le dossier du renfort, un « arrière créateur » que le président Bellon appelle de ses vœux.
« On n’a plus que quelques jours pour boucler ce dossier (avant la fin de la saison régulière) , indique Collet. Cette arrivée serait à considérer comme un signe positif envoyé au groupe. On veut l’aider à atteindre son objectif, à savoir décrocher le titre. Cela se fera au détriment de personne. »
Requinquée et renforcée, la SIG pourra alors s’éveiller aux grandes ambitions.
dna