DENIS BOUANGA EN RENFORT

Le Racing a enregistré le prêt jusqu’à la fin de la saison du milieu offensif du FC Lorient, Denis Bouanga. Jeune (21 ans) franco-gabonais ayant disputé 4 rencontres et inscrit 1 but depuis le début de saison en Ligue 1, il va renforcer le secteur offensif du groupe de Jacky Duguépéroux. Denis Bouanga, qui portera le numéro 25, a participé à son premier entraînement avec ses nouveaux coéquipiers ce dimanche matin. Il devrait être qualifié pour la réception de Belfort, vendredi prochain (20h30).

La fiche
Né le 11 novembre 1994 à Paris
21 ans
1m80 ; 71 kg

2014/2015 : 1 match, 0 but (Lorient, L1)
2015/2016 : 4 matches, 1 but (Lorient, L1)
Le Racing a enregistré le prêt jusqu’à la fin de la saison du milieu offensif du FC Lorient, Denis Bouanga. Jeune (21 ans) franco-gabonais ayant disputé 4 rencontres et inscrit 1 but depuis le début de saison en Ligue 1, il va renforcer le secteur offensif du groupe de Jacky Duguépéroux. Denis Bouanga, qui portera le numéro 25, a participé à son premier entraînement avec ses nouveaux coéquipiers ce dimanche matin. Il devrait être qualifié pour la réception de Belfort, vendredi prochain (20h30).

La fiche
Né le 11 novembre 1994 à Paris
21 ans
1m80 ; 71 kg

2014/2015 : 1 match, 0 but (Lorient, L1)
2015/2016 : 4 matches, 1 but (Lorient, L1)

SO

Un ailier en renfort
Le staff strasbourgeois, qui était en quête d’un joueur pouvant évoluer dans le couloir droit, était sur la piste du jeune ailier Denis Bouanga depuis le début de semaine. Le Racing a finalement trouvé un accord avec le FC Lorient hier matin, pour le prêt de son milieu offensif pour six mois (DNA de jeudi)
Le jeune franco-gabonais de 21 ans a disputé quatre rencontres au sein du club breton et inscrit un but depuis le début de saison en Ligue 1. But inscrit sur le terrain de Reims, lors de la défaite des “Merlus” (4-1) lors de la 4e journée.
L’ailier d’1,80m (70kg), natif de Paris, vient renforcer le secteur offensif du groupe de Jacky Duguépéroux.
« Ce poste d’ailier droit
était une priorité »
Denis Bouanga, qui portera le numéro 25, a participé à son premier entraînement avec ses nouveaux coéquipiers hier matin. Celui qui était aussi dans le viseur de quelques clubs de Ligue 2 (Brest, Paris FC) et de National devrait être qualifié pour la réception de Belfort, vendredi.
« À la base, on ne voulait pas forcément recruter au mercato d’hiver, a indiqué hier Romain Giraud, le secrétaire général du club. Mais après le mois de décembre, en accord avec le staff, on s’est dit que ce serait bien d’amener un peu de concurrence dans le secteur offensif et ce poste d’ailier droit était une priorité. C’est un profil qu’on n’avait pas encore au sein du collectif. »
Après l’arrivée de Denis Bouanga, le Racing ne devrait plus, a priori, enregistrer d’autre renfort durant ce mois de janvier.
Mais une arrivée n’est toutefois pas à exclure « si une belle opportunité se présente. On refera le point plus tard avec le staff », a encore précisé Romain Giraud hier.
DNA

Il faudra qu'il s’intègre vite au club.

Effectivement car 6 mois c'est vite passé.

Et surtout car il faudra vite qu'il participe à trouver la solution aux problèmes offensifs du club.
Je suppose que c'est surtout pour ça qu'il a été pris.

je souhaite que Dugué n'aille pas le faire jouer arrière latéral, car avec certaines compos qu'il a fait ça craint.

La peur de perdre voila pourquoi Dugué joue la défense , mais avec cette tactique il met les joueurs devant en manque de ballon.

Les premiers pas de Denis Bouanga au Racing D’Ouest en Est
Pour relancer sa saison, l’ailier droit Denis Bouanga a traversé toute la France, de Lorient et la Ligue 1 à Strasbourg, où il espère apporter ses qualités de vitesse.

De l’eau salée de l’Atlantique à l’eau douce du Rhin, il y a un très grand pas que Denis Bouanga (21 ans) n’a pas hésité à franchir en quittant Lorient pour Strasbourg.
Cet ailier droit de 21 ans (1,80m pour 71 kilos) a été prêté au Racing par le club breton jusqu’à la fin de la saison. Il a posé ses valises le 3 janvier en Alsace et a effectué hier son troisième entraînement avec ses nouveaux coéquipiers sous une météo... bretonne.

«Je commence à m’adapter de plus en plus»

«Je n’étais jamais venu en Alsace auparavant, je découvre, raconte-t-il. J’ai quelques entraînements et je commence à m’adapter de plus en plus. Je me sens bien. J’ai enchaîné Lorient puis Strasbourg. Physiquement, c’est o.-k. même si j’ai les jambes un peu lourdes.»
C’est en 2014 que ce natif de Paris (il y est né le 11 novembre 1994) a signé au FC Lorient. Il fait ses classes avec l’équipe II en CFA et ne tarde pas à intégrer le groupe des «pros» sous la direction de Sylvain Ripoll.
Le grand saut se produit le 28 octobre, en 16es de finale de la Coupe de la Ligue, où les «Merlus» s’imposent 2-1 face au FC Evian TG.
Bouanga dispute tout ce match et, quelques jours plus tard, entre en jeu face au Paris SG au stade du Moustoir. Comme baptême du feu, on a connu plus triste...
Depuis les trois coups de la saison actuelle, Denis Bouanga a oscillé entre la I (8e en Ligue 1) et la II de Lorient (6e du groupe D du CFA).
En L1, il s’était illustré le 29 août dernier (4e journée) où, sur la pelouse du Stade de Reims, il avait égalisé à 1-1 d’un but plein d’opportunisme et de précision. Lorient s’était incliné 4-1.
Sa dernière apparition avec les «Merlus» date du 15 décembre, en 8es de finale de Coupe de la Ligue, où il est entré en jeu à la 73e minute. Le voilà désormais en Alsace, pour «aider le club à monter en Ligue 2».
«Denis évolue à un poste où il y a beaucoup de concurrence à Lorient et ce sera bien, pour lui, de jouer la montée avec Strasbourg, d’avoir du temps de jeu et ainsi de passer les paliers, avait expliqué Sylvain Ripol, le coach lorientais lundi dans les colonnes du Télégramme de Brest. On retrouvera un joueur à la formation accélérée, car on compte sur lui.»

«Alimenter le côté droit où il manque quelque chose»

En attendant un retour en Bretagne, c’est à Strasbourg (et, peut-être dès vendredi dans le match au sommet contre Belfort) qu’il espère se faire un nom.
«Le projet du Racing m’a convaincu, ajoute-t-il. Avoir plus de temps de jeu est un autre de mes objectifs. Le coach (Jacky Duguépéroux) m’a demandé d’alimenter le côté droit où il manque quelque chose. Je joue beaucoup dans la profondeur avec ma vitesse et mes appels de balle.»
La qualification de Denis Bouanga est attendue aujourd’hui ou demain matin par le Racing
Dna

Si les choses ne s'améliorent pas avec lui sur le plan offensif, c'est à désespérer.

Alors il faudra quand même se poser des questions sur l'entraineur.

Denis “Bip bip” Bouanga
Le prêt du rapide ailier droit au Racing par Lorient s’avère une réussite pour l’instant. Denis Bouanga, lui, ne regrette pas son choix de découvrir le National avec Strasbourg plutôt que la Ligue 2 avec d’autres.

Pas plus Marc-Gauthier Bedime que Nicolas Gabory ne garderont un souvenir immémorial de leur sortie à la Meinau. Les latéraux gauches de Belfort et de Béziers en ont bavé en ce mois de janvier en Alsace, contraints de faire la course dans le sillage de la recrue hivernale du Racing, Denis Bouanga.

Il a mis tout le monde d’accord par les chiffres

Jacky Duguépéroux n’avait pas trouvé l’homme fort de son côté offensif droit. Douniama, Lienard ou Belahmeur y ont parfois évolué contre nature, Aguemon n’a jamais saisi sa chance.
L’entraîneur, guère désireux de recruter en janvier, a finalement accepté d’ajouter un élément supplémentaire à son effectif. Pour l’heure, il n’a pas à le regretter.
Car le Franco-Gabonais de 21 ans a compris qu’il n’avait pas de temps à perdre. « J’étais venu pour apporter ma vitesse, explique celui qui avoue ne pas avoir une idée bien précise de sa rapidité à la course. J’ai été recruté pour ça. Après, c’est clair qu’en marquant lors des deux premiers matches, ça donne de la confiance. »
Denis Bouanga a mis tout le monde d’accord par les chiffres : deux buts, un penalty provoqué et l’impression laissée à l’adversaire qu’il s’agit de le surveiller comme le lait sur le feu, voilà qui constitue une jolie entrée en matière.
L’intéressé apprécie d’enchaîner les matches alors qu’il avait dû se contenter de quatre apparitions en Ligue 1 sur le cycle aller avec les Merlus.
Il n’en tient pas rigueur au club breton qu’il ira suivre à Sarre-Union, dans une semaine.
À la trêve, il a eu le choix. « Il y a eu des contacts avec Brest ou encore avec le Paris FC, mais qui voulait se débarrasser de joueurs avant de me recruter, explique-t-il. J’ai eu des bons échos sur le Racing. Et c’est effectivement une bonne équipe, qui joue au ballon. Le truc que je n’avais pas remarqué, c’est qu’il avait enchaîné trois défaites en décembre. »
Le joueur formé initialement au Mans a permis de tourner cette page sombre. Concentré dans un projet sportif, il avoue ne pas encore avoir découvert le centre ville strasbourgeois, laissant volontiers libre cours à son naturel casanier.
« Je ne sors pas trop et j’aurai le temps plus tard pour ça, indique-t-il. Je me concentre sur un championnat qui se rapproche vraiment du rythme de la L2, où chaque détail compte et où tout le monde peut battre tout le monde. Il y aura encore des surprises jusqu’à la fin. »
Denis Bouanga veut en éviter une au groupe de Jacky Duguépéroux, construit pour jouer les premiers rôles et basculer vers la Ligue 2.

Il connaît Les Herbiers

Avec deux succès à la maison et un nul à Orléans pour commencer 2016, Ernest Seka et les autres ont pris les commandes du National. Aux Herbiers, il ne s’agira pas de les lâcher.
Et en la matière, ils pourront suivre le guide qui va si vite : « Les Herbiers, je connais. Avec la réserve de Lorient, on les avait joués en CFA. Au final, on avait terminé devant eux, mais ils étaient montés. »
La recrue du côté droit a donc aussi une partie de la recette pour monter. Quand on court si vite, on n’a sans doute jamais vraiment l’intention de ne pas terminer premier.
dna

Bouanga : « Eviter le piège »

Ce vendredi (20h), le Racing se rend à Avranches pour l’avant-dernier déplacement de la saison. Un match que Denis Bouanga sait compliqué.
– Comment le groupe aborde-t-il ce rendez-vous à Avranches ?
– On y va avec un seul objectif : gagner. On sait que ce sera très compliqué face à une formation solide, capable de battre des formations comme Luçon, Châteauroux ou Marseille-Consolat. Mais c’est un moment important pour l’équipe. Pour faire un coup là-bas, il faudra mettre les bons ingrédients dans cette partie. C’est-à-dire de la solidité défensive, surtout, puis de l’efficacité offensive, qui nous a fait défaut ces derniers temps. 
– L’efficacité, justement, l’avez-vous travaillée spécialement cette semaine ?
– C’est un aspect du jeu qui se joue sur des détails. C’est une question de lucidité, d’application, de concentration, des domaines qui ne sont pas évidents à travailler. On a travaillé devant le but cette semaine, en effet, mais ce n’est pas pour autant que nous concrétiserons toutes nos occasions contre Avranches. Il faut être plus concentré dans la surface adverse.
– A quel type d’opposition t’attends-tu ?
– Dans ce championnat, toutes les équipes sont combatives et on s’attend donc à devoir batailler, comme chaque week-end. Avranches a encore besoin de points pour assurer son maintien. Nous devrons éviter le piège. Pour cela, il faudra nous mettre à l’abri dès le début en adoptant la bonne attitude sur le terrain.
so