(Mais en parallèle très bon match de Ruffier, beaucoup de stephanois s’étonne de ne pas le voir en EDF^^)

Montpellier - Nice 3-2

Match arrêté à Bastia pour jets de projectils sur l'arbitre de touche.
Lille mène 1-0

Sans commentaire, Bastia

Je jeu reprend, mais au prochain incident l'arbitre arrête définitivement le match.

Lamentable.

C'est terminé :

Bastia - Lille 0-3

Rennes-Troyes 2-1

Comme d'hab' pour Bastia ...

Saint-Etienne, Montpellier, Rennes, Lille dans le dernier carré: pas de grosses équipes de coupes dans les dernières années (palmarès).

La finale de la Coupe de la Ligue entre
Saint-Etienne et Rennes samedi, au Stade de France, oppose deux clubs
qui n'ont rien gagné depuis plus de trente ans.



Une finale, ça se gagne. C’est ce que doivent se dire
Saint-Etienne et Rennes, qui s’affrontent samedi pour le titre en Coupe
de la Ligue. D’autant plus pour deux clubs qui n’ont rien gagné depuis
plus de trente ans. Le titre de champion des Verts en 1981 et la
victoire en Coupe de France des Rennais dix ans plus tôt sont les
dernières lignes de leur palmarès. Ce match au Stade de France revêt
donc une importance toute particulière aux yeux des supporters, qui
n’ont pas eu la chance de vibrer depuis bien longtemps, mais aussi pour
les joueurs qui mesurent la portée d’un titre dans une carrière.
Voilà
pour le contexte. Qu’en est-il maintenant des forces en présence ? Sur
le papier, Saint-Etienne est favori, eu égard à une année 2013 presque
parfaite avec une défaite en 18 matches, toutes compétitions confondues.
Seulement, c’est en milieu de semaine, contre Lorient en quarts de
finale de la Coupe de France (1-2), que les Verts ont chuté. "C’est
peut-être un mal pour un bien, ça va nous faire réfléchir, au lieu
d’être décontractés, on saura que l’on peut prendre une gifle. Ça va
nous faire du bien", a lancé Christophe Galtier, comme pour se
rassurer à l’approche d’un rendez-vous que tout le peuple vert attend.
Mais cette défaite est le prolongement d’une période moins évidente pour
les Stéphanois, qui n’ont gagné qu’un match en un mois et demi.




Le goût de la défaire, les Rennais le connaissent par cœur. Depuis
deux mois, les Bretons ont perdu six de leurs huit derniers matches. Ce
n’est pas avec un tel bilan qu’ils vont aborder cette finale en
confiance. Pour secouer un peu ses joueurs, Frédéric Antonetti a
illustré son sens aigu de la formule: "On est même les tocards de la finale. On n’est même pas outsiders, on est des tocards, vu la situation." Ils apprécieront sans doute que leur entraîneur s’inclut dans ces "tocards". "Le grand responsable c’est moi, car je dois trouver des solutions", a-t-il fait savoir.François-Henri Pinault, patron de PPR et propriétaire du Stade Rennais, a plutôt choisi de les encourager: "On
ne peut pas jeter le tout à la poubelle. Avant, durant cinq mois, cette
équipe a fait vibrer la ville, la région, comme jamais aucune équipe ne
l'a fait. Cette équipe va gagner au Stade de France et je suis venu le
lui dire. Il faut qu'elle ait confiance en elle." La défaite des
Rennais en finale de la Coupe de France contre Guingamp en 2009 reste
une plaie qui n’a pas encore vraiment cicatrisé. Mais les Bretons ont eu
le mérite de revenir en finale pour tenter à nouveau leur chance. Ça
finira bien par sourire un jour. Saint-Etienne espère juste que ce ne
sera pas samedi

orange sports

Saint Etienne-Rennes 1-0

Rennes, l'éternel club sans palmarés véritable (vu sa longévité dans l'élite). Le Racing, à côté, peut bomber fiérement son torse.