Ca rapporte que 3 pts quand même au final, vu que tu prends 1 pt en perdant le match.

Oui aberrant quand même ce mode de calcul des points dans les divisions inférieures, à quand la victoire à 8 pts et le nul à 4?

C'est pour encourager à atteindre les 100 points. Mais avec 30 journées seulement, dur, dur !
Sarre-Union troisième quand même ! Seconde équipe (pour l'instant) du 67.

Non, il n'y a eu que deux méthodes dans l'élite.
Soit la victoire à 2 points soit à 3 points. Par contre il y a eu pendant quelques années, le système du bonus qui accordait un troisième point à l'équipe qui gagnait avec trois buts d'écart. Il y a même eu à une certaine époque un point pour l'équipe qui marquait au moins trois buts dans une rencontre. Il paraît qu'ainsi l'AS Monaco a pu se maintenir grâce au point obtenu lors d'une journée où ils avaient perdu par un certain nombre de buts à 3.
Mais ça remonte aux années 70 au moins.

Edit: voilà, je l'ai retrouvé: c'était pendant les trois saisons entre 1973 et 1976.

Ah oué c'était cool ce système, j'aime bcp l'idée du point supplémentaire pour l'équipe qui s'impose par plus de 3 buts

Au moins trois buts.
A noter que ce système n'a rien changé pour ce qui est du champion. Avec ou sans bonus, il était champion.

Strasbourg : Des jeunes pépites très convoitées
Par Alexandre Chochois le 03 mai 2011 |

Le malheur des uns pourrait bien faire le bonheur des autres. Strasbourg, en proie à de graves difficultés financières, se voit dans l'obligation de se séparer de la plupart de ses meilleurs jeunes, faute de ne pouvoir les faire signer pro. C'est ainsi que, selon nos confrères de L'Alsace, sept joueurs sont désormais libres de rebondir où ils l'entendent.



Et parmi eux se trouveraient plusieurs futurs talents, comme Cyriaque Rivieyran, Eric Nyatchou Ndema (intenational U20 avec le Nigéria), ou encore Marco Rosenfelder, convoité par de gros calibres allemands comme Hanovre, Hoffenheim, le Werder Brême ou encore le Bayern Munich, rien que ça. Toujours selon la même source, des émissaires de Lille, Monaco, Stuttgart (Allemagne), Dijon ou encore Le Havre étaient présents le week-end dernier au match de l'équipe réserve. Quand on vous dit que les jeunes pouces strasbourgeois sont suivis de près, c'est un doux euphémisme

C'est dommage, Hilali les a retenue une saison de plus en espérant, sinon ils ne seraient déjà plus la.......

Il paraît que la réserve a été défaite à domicile par Illzach-Modenheim (0-1).

C'est plus que compromis pour une montée en CFA ...

Ben le Racing a encore ses chances en étant toujours 2è de sa poule.

Même en terminant 2è le Racing monte ! Dijon II ne pourra monter en CFA car ils n'ont pas un centre de formation homologué (ou un truc comme çà)

J'ai du mal à imaginer qu'un club qui est peut-être sur le point de monter dans l'élite n'ait pas un centre de formation homologué.

Il me semble avoir déjà lu quelque part il y a plusieurs mois (dans le 20 Minutes ?) que l'équipe réserve de Dijon ne pouvait pas monter. C'est un joueur qui l'avait affirmé. Par contre, je n'en connaissais pas les raisons.

En fait, apparement, Dijon II aura bien le droit de monter, si et seulement si Dijon monte en D1 car "du fait de l'absence d'un centre de formation agréé, un club n'a le droit d'avoir une réserve en CFA que s'il évolue en L1."

Ben Dijon n'est pas mal partis pour monter, et ça ne me déplairai pas de les voir en élite. Ils ont 2 pts d'avance sur le 4ème à 4 journée de la fin.

Victoire de la réserve à Jarville 0-3
Le Racing revient à un point de Dijon tenu en échec face à Vesoul (1-1).

La réserve du Racing s'est imposée 3-0 face à Vauban.

Selon le résultat de Vesoul, l'équipe réserve sera mathématiquement assuré de terminer au moins 2è de sa poule

La défaite de Dijon II leur permet même d'être leader.

Match au sommet en ce moment à Dijon pour la réserve.

18H00 : Dijon (2) - Strasbourg (1)

La réserve du RCS s'est imposée et finit donc première de CFA 2.
Toutefois cela ne changera rien si le RCS est maintenu en National. Si notre équipe une est retrogradé dans une autre division ce sera au bon vouloir de la 3F

N'empêche c'est fou, sur le plan sportif notre équipe réserve est potentiellement à une seule division de l'équipe I !

Si on dépose le bilan et qu'il y a un repreneur valable, le club a le droit de reprendre avec sa réserve, donc en CFA en l'occurrence

Super la CFA....
Non mais franchement, déjà une bonne majorité ne venait plus à la Meinau (10 000 voir un peu plus en moyenne) en L2, en national il y avait une moyenne de 6000 spectateurs et en CFA 1500 à 2000 pfffffffff même si ca reste raisonnable pour cette division.

Ben c'est la logique des choses oui... De toute façon, on ne risque pas d'être confronté à une Meinau vide puisque j'ai entendu ce matin une interview d'Hilali sur FBA confirmant l'abandon du statut pro et le changement de stade pour des questions budgétaires...

BRAVO à l'équipe 2!!!!
Mais Rémi, il me semble que Hilali avait promis de laisser le statu pro au racing non?
Vers quel stade nous tourneront nous à présent?
Mais bon, une fois de plus ce ne sont que des paroles.

Aux dernières nouvelles, il semble bien que selon Jafar, pas de L2, plus de statu pro.
Direction Molsheim...

Tant mieux, c'est plus proche de chez moi

Le point d’orgue

:
RC STRASBOURG II 3

SELONGEY 2

Mi-temps : 0-1. – 250 spectateurs. Arbitre : M. Meyer assisté de MM. Rosenfelder et Brun. Avertissements : Faug-Porret (55 e), Rosenfelder (88 e) à Strasbourg ; Trouvensier (51 e), Messiba (68 e), Conat (72 e) à Selongey.

Les buts : Trouvensier (66 e, csc), Benedick (82 e), Wachter (90 e+3) pour Strasbourg ; Jollet (4 e), Houmadi (89 e) pour Selongey.

Molsheim, terre de contraste. Sur la pelouse du Stadium, les uns rient, pendant que les autres pleurent.

Au coup de sifflet final de l’arbitre, le Racing Club de Strasbourg laisse exulter sa joie, conscient qu’il a marqué de son empreinte le championnat de CFA2.

Pendant ce temps là, les joueurs de Selongey rentrent au vestiaire, la tête basse, conscients qu’ils vont rejoindre la DH l’an prochain.

Pourtant, à la mi-temps, c’était l’exact contraire. Le Racing était mené, et ne pouvait donc pas terminer la saison sur une bonne note, et Selongey assurait son maintien, grâce à un but de Jollet, inscrit dès la 4 e minute sur un corner rentrant.

Oulala, que c’était mal embarqué pour les Strasbourgeois.

Mais en une mi-temps, on est passé de trois fois zut à trois fois but.

Après 45 premières minutes jouées sur le rythme des vacances, les joueurs de François Keller font comprendre à tout le monde pourquoi ils sont champions. De la solidarité, des ressources morales, et de l’efficacité, un bon cocktail qui suffit à plomber l’ambiance côté selongéen.

Dès la 46 e, Fournier allume un gros pétard à 25 m, obligeant Boury à détourner.

Jusqu’alors pleins de confiance, les joueurs d’Alain Donat perdent la face lorsque Faug-Porret adresse un centre parfait à Dicko, devancé par Trouvensier, qui marque contre son camp (66 e).

C’est ensuite Benchenane qui envoie une mine juste au-dessus du but de Boury, sur un coup franc plongeant (72 e).

Puis Rosenfelder, sur corner, trouve la tête de Benedick, juste un peu maladroit. À force d’insister, et avec l’apport des titulaires habituels entrés en jeu, le Racing prend l’avantage.

Caviar de Viana pour Benchenane dans l’axe, qui fixe défenseur et gardien, et régale Benedick, pour un plat du pied plein de sécurité (82 e).

Les petits bonheurs de François Keller
Selongey reprend espoir grâce à une tête de Houmadi, capitaine exemplaire, mais cet élan sera coupé par un modèle de contre-attaque joué entre Viana et Wachter, qui conclut l’affaire en éliminant Boury pour marquer dans le but vide.

De l’eau, des cris, de la joie plein les couloirs du Stadium, et des sourires sur les visages strasbourgeois, voilà qui fait vraiment du bien dans une saison improbable sur le plan extra-sportif.

« On est content de finir sur une victoire, surtout contre une équipe qui jouait sa survie. On est aussi content pour Molsheim, qui l’an passé partageait notre déception, et qui cette saison partage notre joie, avec la montée de son équipe fanion également », concluait François Keller.

Vincent Hahn